Ø  L’engagement politique de l’ONU au Burundi vise à résoudre pacifiquement la crise dans le pays.

Ø  La posture de l’ONU est essentiellement proactive. La proposition, par exemple, de créer une force de police visait essentiellement à éviter toute nouvelle détérioration de la situation.

Ø  La présence de ce petit groupe d’observateurs et d’appui permet de suivre de près l’évolution de la situation sur le terrain et de maintenir pour ainsi dire une capacité pour alerter les parties prenantes (nationales, régionales et internationales) de toute menace potentielle pour la paix fragile du pays.

Ø  L'ONU et la communauté internationale dans leur ensemble accordent une importance primordiale au dialogue inter-burundais, et l'organe mondial n'a aucun doute sur la nécessité de veiller à ce que les discussions soient inclusives.

Ø  Le dialogue inter-Burundais est une initiative de la CAE, dirigée par la CAE et approuvée par l'Union africaine (UA). Le médiateur et le facilitateur sont désignés par le CAE.

Ø  Aux côtés de l'ONU, d'autres acteurs apportant un soutien financier, technique et moral comprennent …

Ø  Toute assistance de l’ONU à cet effort de paix est coordonnée par OSESG-B, et par l’intermédiaire d’un groupe de travail technique conjoint (GTTC) composé de représentants de la CAE, de l’UA et de l’OSESG-B.